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Macaronette et cie
30 juin 2012

Clafoutis pistache à la rhubarbe et cerises

Je vous avais raconté avec la recette du moelleux aux cerises, que mon idée de départ était de faire un clafoutis.

Et bien en reprenant des cerises l'autre jour, l'idée de départ cette fois, n'était pas de faire un clafoutis, mais de faire un crumble cerises - rhubarbe (il faut dire que j'ai plein de rhubarbe dans le jardin, alors autant en profiter).

Et là, pas de crumble !  Mais au final un clafoutis. Pourtant j'ai de la pâte à crumble toute prête dans le congélateur !

Il faut que j'arrête de faire des plans. C'est vrai si ce n'est pas pour les suivre... Et puis zut alors ! L'important, c'est de se faire plaisir au moment où :o) Non ?

Donc voici une recette de clafoutis revisité qui m'a été inspiré pour éviter le beurre par la recette du blog Le Pétrin, très loin du clafoutis traditionnel. J'ai un peu revu à ma sauce la recette d'origine.

Ce clafoutis est moins gras que le clafoutis traditionnel, et l'association des parfums de la cerise, de la rhubabe et de la pistache, nous a énormément plus...
J'en ai donc refais un mini part ;o)
       

Clafoutis pistache

à la rhubarbe et aux cerises
        

      
Pour 6 personnes

Ingrédients :

3 à 4 tiges de rhubarbe
300 gr de cerises
60 gr de farine
60 gr de poudre de pistaches
50 gr de sucre
3 cuil à soupe de sucre roux
200 gr de crème liquide
100 gr de lait
2 oeufs
2 jaunes d'oeufs
1 cuil à soupe de sucre vanillé
quelques pistaches
      

Laver, éplucher et couper en petits tronçons la rhubarbe.
Laver et dénoyauter les cerises.
Mettre la rhubarbe et les cerises dans un récipient avec le sucre roux et mélanger.
Réserver.

Préchauffer le four T°6 (180°C).

Dans un récipient, mélanger la crème liquide, le lait, les œufs, les jaunes d'œufs et le sucre.
Puis ajouter progressivement la farine, en mélangeant.
Puis ajouter la poudre de pistache.

Beurrer et fariner un moule à clafoutis.

Couper grossièrement au couteau les pistaches entières.

Répartir les fruits dans le moule,
et verser la pâte à la pistache dessus, puis répartir dessus les pistaches coupées.

Enfourner et cuire 20 à 25 min.
Sortir du four, saupoudrer éventuellement de sucre glace,
et laisser refroidir avant de déguster.
      

    
          

Et en version individuelle... pas mal non plus ;o)

  

 parchemin :   Clafoutis_pistache_à_la_rhubarbe_et_aux_cerises

drapeau_anglaisEnglish version of recipe :   Cherries_and_rhubarb_pistachio_clafoutis

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27 juin 2012

Financiers à la noisette au Nutella

Il y a quelque temps, j'ai reçu un mail me proposant de recevoir le dossier de presse Nutella®.

J'avoue que j'ai quelque fois, ce type de mail. J'y réponds quelques fois lorsque le produit m'intéresse, et que rien ne m'oblige dans les propos tenus par la marque, comme ici, à en parler ou d'en faire écho (selon le terme consacré !).
J'aime bien garder mon libre arbitre, et ne parler que des produits que j'aime bien ou dont j'ai envie.

Ayant été bercée par le Nutella® pendant mon enfance, comme goûter après l'école ou comme sucrerie avec les petites barquettes à spatule blanche que l'on achetait en boulangerie, en même temps que les bonbons... J'ai eu envie d'en savoir plus et de recevoir le dossier en question.

Ce dossier de presse, outre de contenir des recettes assez sympa et de rappeler l'histoire d'un produit né en 1946 en Italie, qui utilise 100 millions de noisettes par jour pour sa fabrication (pour les chiffres qui m'ont marqué à sa lecture)... et bien ce dossier était accompagné d'un pot de Nutella® et d'un moule en silicone en forme de petits bocaux de Nutella®.

Ce moule a tellement plu à la maison, que nous n'avons pas mis longtemps à réaliser des petits financiers.

Pour ce faire, j'ai repris ma recette de base des financiers, mais en remplaçant une partie de la poudre d'amande par de la poudre de noisette (pour faire plus Nutella® ;o)) et en les fourant avec du Nutella® (comme une des recettes du dossier de presse).

Mon idée était de cacher le Nutella® à l'intérieur des bocaux financiers... Et là, je vous avoue que pour maintenir le Nutella® dans le financier et qu'il n'apparaisse pas, j'ai fais plusieurs essais avant de réussir.
Étonnement, les financiers dont le Nutella se voit (et que je considérais comme ratés dans l'idée), ont beaucoup plus.

En fait pour tout vous dire, ces petits financiers au Nutella® sont partis comme des petits pains.Gourmands nous sommes, gourmands nous restons ;o)
          

Financiers à la noisette au Nutella®
        

          
Pour une trentaine de financiers en forme de bocaux

Ingrédients :

220 gr de sucre glace
60 gr de poudre d'amandes
60 gr de poudre de noisettes
120 gr de farine
1 cuil à café de levure chimique
320 gr de blancs d'œufs 
180 gr de beurre doux
du Nutella®

 

Pré-chauffer le four à T°6 (180 °C)

Faire fondre le beurre.

Tamiser dans une terrine le sucre glace, la farine, la levure, la poudre d'amandes,
et la poudre de noisettes

Ajouter les blancs d'œufs aux ingrédients secs et bien mélanger.

Lorsque le mélange est homogène, ajouter le beurre fondu encore tiède.

Beurrer et fariner les moules à financiers si nécessaire
(inutile de beurrer et fariner les moules en silicone, comme ici pour les moules en forme de Nutella®).

1er essai : qui laisse ressortir le Nutella® : remplir les moules et déposer une touche de Nutella®.
Enfourner pour 10 -20 minutes suivant votre four.
           

   

            
2ème essai : qui ne laisse pas apparaître le Nutella® : déposer une cuiller de pâte dans le fond des moules
et enfourner pour 4 minutes.
Sortir la plaque, et déposer une touche de Nutella® sur la pâte pré-cuite,
et remplir le reste du moule avec de la pâte à financier.
Enfourner pour 12-15 minutes.
       

   
    

Démouler et laisser refroidir sur une grille.
             

     
Conserver dans une boîte en métal... Enfin s'il vous en reste !
          

   


           

 parchemin :   Financier_à_la_noisette_au_Nutella

drapeau_anglaisEnglish version of recipe :  Hazelnuts_financiers_with_Nutella

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24 juin 2012

Crostini d'Andouille de Vire et compotée de figues

Lorsque Sylvia m'a proposé un atelier-joute autour de la charcuterie, je me suis vraiment dit pourquoi pas ! Tout en me demandant bien, ce qui pouvait se cuisiner avec de la charcuterie, en dehors des traditionnels jambons.

C'était sans compter le panier d'ingrédients surprise, composé par Chef Damien, et de la charcuterie "à sublimer", et une super équipe menée par Sylvia, avec Philo, Salma, Charlotte, et moi.

Pour la charcuterie, 3 variétés :

du jambon de Noir de Bigorre, du producteur Frédéric Bonomelli (qui fut une très bonne découverte. Un délice !)
de la saucisse, et notamment une au miel et estragon, de Michel Brisson, et
de l'Andouille de Vire.

C'est de cette dernière dont je vais vous parler en vous donnant la recette que nous avons créé ce soir là.

Nous avons eu un peu plus d'1h30 pour créer 3 recettes estivales.

Pas forcément évidement, et au final, comme vous le verrez dans le petit résumé... mais toutes les équipes s'en sont super bien sorties avec des recettes très sympa, dont nous avons pu nous régaler à la fin de l'atelier.

Une soirée très sympa pour laquelle nous remercions la Fédération Française des Industries Charcutiers Traiteurs, et ses représentants Robert Volut et Catherine Goavec.

Mais place à la recette. Une autre façon de manger de l'andouille.
          

Crostini d'Andouille de Vire

et compotée de figues
         

 

Pour une dizaine de crostini

Ingrédients :

5 ou 10 tranches d'Andouille de Vire (suivant la circonférence de l'andouille)
1 baguette (de préférence dite tradition)
5 figues violettes fraîches
l'équivalent de 2 cuil à soupe de pâte de tamarin (soit environ 4 - 5 tamarin frais)
de l'huile d'olive
piment d'Espelette
sel

Laver et couper les figues en petits morceaux sans les éplucher.

Mettre 1 cuil à soupe d'huile dans une casserole, et y mettre les figues coupées avec la pâte de tamarin
laisser compoter une dizaine de minute en faisant attention que cela ne brûle pas.

Saler et assaisonner au piment d'Espelette, selon votre goût.
Réserver jusqu'à total refroidissement.

Pré-chauffer le four T°8 (200°C) mode grill

Couper le pain en morceau,
et déposer un peu d'huile d'olive dessus.

Déposer le pain sur une plaque et faire les griller dans le four.

Lorsque le pain est grillé,
tartiner les morceaux de pain avec de la compotée de figues.

Découper les tranches d'andouille de Vire, et déposer les sur la compotée.
Saupoudrer d'un peu de piment d'Espelette, si vous souhaitez ajouter une touche pimentée.
       

  


          

 parchemin : 

drapeau_anglaisEnglish version of recipe :  

 

     
Et comme promis, un petit résumé en image de l'atelier autour de la charcuterie, qui s'est tenu à l'atelier du Chef Martial à Paris. Une très bonne ambiance, et de super bonne chose à manger.
             

 

 

  

 


  ©www.laurent-rodriguez.com

 

 L'équipe de  Sylvia, avec Philo, Salma, Charlotte, et moi.
           
        

 

  

           

 

 

 

Vous retrouverez les autres recettes gourmandes réalisées par l'équipe :

          

Chez Salma : Jardinet fleuri de roulades de jambon de Noir de Bigorre

 

Chez Charlotte : Salade fraîcheur de quinoa aux saucisses

 

Retrouvait aussi les recettes des autres équipes :

 

Chez Clémence : Gaspacho Melon - carotte et jambon de noir de Bigorre

 

Chez Nadia ou Marcia : Aubergines à la Parmigiana et à l’Andouille

 

Chez Snapulk : la paëlla des îles

 

 

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21 juin 2012

Plateau de fromage Finlandais

Aujourd'hui pas de recette, mais des découvertes - j'adore ;o)

On dit que l'autre pays du fromage, c'est la Hollande, enfin les Pays Bas pour être plus précis et juste ;o)... 

A vrai dire, ayant séjourné 6 mois aux Pays-Bas pour mes études, je ne suis pas certaine que le slogan de la pub soit exact ! Ou alors, les néerlandais planquent bien leurs variétés de fromages !

Par contre, il y a dans pas mal de pays voisins, qui ont une culture fromagère.

Certes pas aussi étendue que la notre, puisqu'on compte dans les 500 sortes de fromages en France (source), mais tout de même, pas mal de pays ont une culture fromagère développée, comme l'Italie, la Suisse, l'Espagne, l'Angleterre...

Cependant, on parle rarement d'autres pays d'Europe, qui eux aussi fabriquent du fromage. Je ne sais pas si je pourrais faire ce type de billet très souvent, mais j'ai profité d'une mission en Finlande, pour m'amuser à composer un plateau de fromages complètement finnois, avec des noms plus imprononçables les uns que les autres ;o).

Bon, ces fromages ont été rapportés de l'aéroport d'Helsinki, et même si la plupart sont bio... il n'en reste pas moins que ce ne sont pas les meilleurs modèles des fromages locaux. Il va sans dire que je suis sûre que si vous avez l'occasion de partir en Finlande, localement vous les trouverez avec une bien meilleure mine et un meilleur goût.

Malgré tout ce fût une expérience intéressante... et puis ça étonne de voir arriver sur la table des fromages non français ;o) Entre grimace, découverte et dégustation… Il y a de quoi passer un bon moment :o)

Voici donc la présentation des fromages ayant composé mon plateau de fromages finnois.
         

Plateau de fromages finnois
         

           
On va commencer avec je pense, le fromage le plus typique, le plus finnois, l'incontournable et surtout le plus délire ! En gros, s'il n'y en a qu'un à tester, c'est celui là.  

          

Leipäjuusto ou Juustoleipä
         

             
A l'aspect, la première question qui se pose est de savoir si c'est vraiment un fromage !

D'abord en raison du visuel, j'avoue que je suis restée un moment dubitative devant le paquet en me demandant si c'était un grand pancake, un pain ou toute autre chose… jusqu'à ce que la vendeuse me dise que "juusto" signifie fromage en finnois.

Donc c'est un fromage ! Pourtant "Leipä" en finnois signifie "pain". C'est donc un pain de fromage ou un fromage pain ! Une bonne raison pour moi pour en mettre un paquet dans mon panier !
          

           
Par la suite, j'ai trouvé sur le web, qu'on le trouve aussi aux Etats-Unis, sous le nom de "Bread cheese" (apparemment fabriqué dans le Wisconsin – info donnée par ma copine Boljo). Mais les américains l'appellent aussi le "squeaky cheese"... Et là, je dois dire que c'est un nom parfaitement approprié pour ce fromage.

En effet, "squeaky" en anglais signifie grinçant, couinement.... et le Leipäjuusto est véritablement un fromage qui couine lorsqu'on le mange :o)

A vrai dire c'est le seul intérêt de ce "fromage", qui n'a pas vraiment de goût, et est très loin de nos fromages français. Mais rien que sa texture en fait une expérience amusante.

En gros, c'est comme si vous mangiez un fromage caoutchouteux, qui couine en le mâchant ! C'est assez drôle et délire !

Pourtant c'est véritablement un fromage. Le Leipäjuusto est un fromage à pâte molle de la région de Tampere (on en trouve aussi en Laponie et dans le Sud de la Finlande). Il est fabriqué à partir de colostrum de vache ou de lait de renne. Après avoir formé le fromage à partir du caillé, il est pressé et mis près du feu ou au four pour en griller la surface. 

Apparemment dans les familles finnoises, on le fabrique maison notamment pour marier sa fille. Si le gendre aime votre Leipäjuusto, il se mariera avec la fille de la maison. Et là si quelqu'un peut me donner la recette… Je suis preneuse pour en faire maison (apparemment celui que l'on trouve dans le commerce est fait à partir de lait de vache classique). J'ai trouvé un site, mais qui ne donne pas les détails de fabrication - dommage !

Le Leipäjuusto se mange froid ou chaud, mais pour avoir testé, c'est bien meilleur chaud (quelques secondes au micro-onde suffisent à le chauffer).
A noter : même chaud il garde son côté couinant.
             

  

A gauche : froid et à droite : chaud
les deux accompagnés de confiture de plaquebière

En Finlande, on le mange généralement pour le dessert accompagné de confiture de "lakka" (soit de la confiture de "mûres polaires" (lat. Rubus chamaemorus) : petit fruit orangé qui ressemble à une mûre, qui pousse dans les régions au-dessus du cercle polaire. On les appelle "plaquebières" à Saint Pierre et Miquelon (merci Boljo pour le nom), "Cloudberry" au Canada, "Chicouté" au Québec ou "Multebeere" en Norvège où j'ai pu en manger des fraîches un été de vacances. C'est terrible avec du chocolat !
       

   

          
Vu l'absence de goût du Leipäjuusto, pas étonnant de le manger avec de la confiture :o)

Par contre, je n'ai pas testé la méthode US de dégustation, soit trempé dans le café… Là, je passe mon tour. 

Pour rire et pour ceux qui parlent anglais, je vous mets le lien vers une vidéo de test de la version américaine de squeaky cheese : assez amusante.
          

Peltolan Blue
      


Dans beaucoup de pays, pas mal de fromage ne sont pas forcément typique du pays, mais des "copies", "imitations", "variantes"… de fromages que l'on trouve ailleurs, et notamment de nos fromages français.

Comme vous le voyez sur la photo et surtout comme son nom l'indique c'est un bleu. D'après le site du fabricant, et bien le Peltolan blue serait le roquefort finnois ! Oui, oui, mais à) vrai dire de loin !

Car contrairement au roquefort qui est fabriqué à base de lait de brebis, le Peltolan Blue est fabriqué à partir de lait de vaches nourries avec du trèfle rouge. Cette petite différente, tout de même significative, fait qu'à mon sens, il se rapproche plus du Stilton anglais (bleu à base de lait de vache lui aussi).
            

   

C'est un fromage au goût de bleu, mais tout de même assez doux, et qui ressemble en goût au Stilton.

Il est assez bon et agréable en bouche. Pas granuleux et plutôt fondant. Une belle réussite, même si cela reste un fromage pasteurisé.
         

Metsuri juusto
       

          
Non, non, c'est bien le nom finnois d'un fromage, et non un nom japonais !

Ce fromage est à mi-chemin entre le Livarot et le Rouy.

C'est encore un fromage de lait de vache, et qui provient, comme le Leipäjuusto, de la région de Mouhijärvi dans le Sud Ouest de la Finlande. Il est entouré d'un morceau d'écorce ficelée. Par contre, je n'ai trouvé que des sites en finnois, qui parlent de ce fromage.
        

     

Sa croute est rouge, et sa texture est très crémeuse. Il est assez bon à vrai dire, même s'il n'a pas autant de goût qu'un livarot (pour le Rouy je ne peux pas dire je n'en mange pas), et que cela reste un fromage à lait pasteurisé !

 

Kolatun Ruska paistettu

munajuusto

       

          
On peut traduire son nom par fromage oeuf sur le plat !

Avec un nom pareil… pas étonnant, que j'en ai acheté un pour tester !

Là, cela reste un fromage, mais on s'éloigne un peu de la notion traditionnelle du terme. En effet, ce "fromage" est fabriqué à base de lait, comme tout autre fromage, mais on ajoute au caillé de l'oeuf ! D'où son nom d'ailleurs.

Le Kolatun Ruska paistettu est un fromage de la Province de Nyland en Finlande, et comme le Leipäjuusto, il est frit ou précuit, ce qui lui donne le côté grillé du dessus.
            

    

          
On le mange avec de la salade. Mais j'ai aussi vu des photos de ce fromage sur le web où on le retrouve en tranche à côté une tasse de café au lait !

C'est celui qui nous a le moins convaincu en tant que tel ! Autant le Leipäjuusto est amusant à manger... autant celui-ci n'a pas vraiment d'intérêt en soi.

A la rigueur légèrement chauffé, il peut passer.

 

Ce plateau de fromages finnois a été dégusté partiellement avec du pain de seigle finnois. Même si ce pain est très bon, il reste que son goût est beaucoup trop fort par rapport aux fromages testés.
            

 

Voici donc un petit échantillon des fromages que l'on peut trouver en Finlande. Il y en a d'autres encore à découvrir… peut-être un jour, qui sait ;o)

Par contre, et malheureusement je n'ai pas trouvé d'adresse de boutiques de produits finnois en France...
                                       

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18 juin 2012

Visitandines au miel (2ème version)

Lorsque je vous avais proposé la recette et la petite histoire des visitandines, soit l'ancêtre du financier, Patrick (dit Pat) du blog Les écritudes de Pat, m'avait gentiment laissé dans les commentaires, une recette de visitandines sortie de ses archives culinaires.

Ni une ni deux, me voici a confectionné les visitandines selon sa recette.

J'ai ici un peu triché, je l'avoue... J'ai remplacé la farine de gruau par de la farine T55, et fait une partie de la pâte en ne battant pas les blancs en neige, à la manière des financiers de nos jours.

Ces visitandines ont un goût très prononcé en miel, puisque cette recette n'utilise pas de sucre.

Curieuse comme je suis (car comme Pat, j'adore savoir), j'ai fait quelques recherches sur le sucre et le miel. Au travers de mes lectures dont je vous mets les liens de-ça de-là ci-dessous, voici rapidement ce que j'ai trouvé.

A l'époque Grecque et Romaine, on utilise principalement le miel afin de sucré les plats ou les desserts. Il faudra attendre Alexandre le Grand (356-323 av. J.C.) et ses conquêtes, notamment vers l'Inde, pour croiser le sucre issu de la canne à sucre, dit "le roseau qui donne le miel sans le secours des abeilles" (dont je trouve jolie l'appelation).

Il faudra attendre le Moyen-âge et notamment les Croisades pour que le sucre soit utilisé en Europe. Mais il reste rare et souvent comme les épices, utilisés par les gens d'Eglise ou les apothicaires (on parle alors de "sucre médicament").

Donc il n'est pas étonnant pour moi de trouver deux types de recettes de visitandines, l'une au miel et l'autre au sucre... les soeurs aussi suivaient le goût du jour ;o)

Mais voici cette nouvelle recette.

Personnellement, j'ai préféré la version sans blancs en neige, mais mon mari celle avec les blancs en neige... alors à vous de vous faire votre idée et votre choix ;o)
       

Visitandines au miel
       

               
Pour 24 petites visitandines faites dans des moules à mini muffins

Ingrédients

125 g de beurre mou
125 gr d'amandes (ici 100 gr de poudre d'amandes et 25 gr d'amandes concassées)
250 gr de miel d'accacias
4 blanc d'oeufs
3 cuillers à soupe de farine de gruau (ici de farine T55)
       

Préchauffer le four T°6 (180°C)

Dans un récipient mélanger ensemble le beurre mou avec le miel.

Dans un mortier concasser les amandes (ou plus simple mélanger la poudre et les amandes concassées).

Selon votre choix, battre les blancs en neige ferme,
et ajouter le au beurre-miel, en l'incorporant délicatement si vous avez battus les blancs en neige.

Ajouter lentement la farine, puis les amandes concassées.

Répartir la pâte dans un moule ou des petits moules à muffins,
puis faire cuire environ 20 -25 minutes.

Laisser refroidir sur une grille.

A conserver dans une boîte en métal.
  

  

A gauche : visitandines sans blancs en neige - A droite : visistandines avec blancs en neige
      

 

 parchemin :  Visitandines_au_miel

drapeau_anglaisEnglish version of recipe :  

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15 juin 2012

Moelleux à la cerise

Et voici que la saison des cerises commence. En tout cas, le week-end dernier, nous avons eu la chance de trouver de très bonnes cerises. Alors autant en profiter pour ressortir les recettes que l'on aime :o)

J'ai hésité à faire un clafoutis (comme ma tante sait si bien les faire ;o)), mais ce sera pour une prochaine fois. En fait, juste avant de me mettre aux fourneaux, j'ai vite ressorti une recette de gâteau que je tiens de ma maman.

Elle nous faisait ce gâteau à peu près à la même période, toujours avec des cerises fraîches... Il faut dire qu'elle avait bien raison, car même si ce gâteau peut se faire avec des cerises en bocal, au mieux congelées, pendant la période d'hivers... il n'en reste pas moins qu'il est bien meilleur avec des cerises fraîches.

Mais peut-être est-ce parce que c'est ce goût avec des cerises fraîches, qui me rappelle ma madeleine de Proust. Allez savoir !

C'est un gâteau rapide à faire, et dont la fécule de pomme de terre donne une texture très fine et moelleuse. Le lendemain, il est aussi bon mais avec une pâte qui prend la texture du quatre quart en plus léger.

Vous m'en direz des nouvelles :o)
     

Moelleux à la cerise

        
Pour 6 personnes

Ingrédients :

2 oeufs
100 gr de sucre
60 gr de farine
50 gr de fécule de pommes de terre
1 cuil à café de levure chimique
100 gr de beurre
sel
250 gr de cerises dénoyautées (cela fonctionne très bien avec des cerises congelées - ne les décongelées pas)
optionnel : sucre glace
      

Pré-chauffer le four T°6 (180°C).

Faire fondre le beurre sans le brûler.

Séparer les blancs des jaunes.

Dans un récipient, mélanger jusqu'à blanchiment les jaunes et le sucre.
Puis incorporer la farine, la fécule et la levure chimique tamisées.

Ajouter ensuite le beurre fondu et mélanger.

Monter les blancs en neige avec une pincée de sel, et les incorporer délicatement au 1er mélange.

Incorporer les cerises dénoyautées,
et verser le mélange dans un moule de 20 cm de diamètre préalablement beurré et fariné.

Enfourner pour 25 -30 minutes suivant votre four.

Démouler et laisser refroidir sur une grille.

Vous pouvez le saupoudrer de sucre glace si vous le souhaitez.
          

  

 
parchemin
 :  Moelleux_à_la_cerise

drapeau_anglaisEnglish version of recipe :
     

 

Vos versions de la recette :

 

Moelleux à la cerise de Lou du blog Perle Culinaire

 

Moelleux à l'abricot de 4'ine du blog Déco, patine et C...

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12 juin 2012

Agneau à la sauce BBQ et aux épices

Comme je le dis souvent, il y a des plats que l'on voit sur le net, et qui nous font saliver, rien qu'à en lire la composition et à en voir les photos.

Et bien, c'est exactement ce qui s'est passé avec le plat que présentait Riri Cuisine... J'avoue que j'adore son blog, il y présente souvent des plats aux saveurs d'ailleurs, comme je les aime, et qui donnent envie de voyager dans l'assiette et en vrai. Ce qui est le cas pour cette recette, qu'il a rapporté de Malaisie.

Donc sans plus attendre, hop je passe chez le boucher prendre de l'agneau. Et me voici devant les fourneaux.

Je vous dis rien de l'odeur d'épices qui régnait dans ma cuisine, pendant toute la préparation... de quoi vous donnez encore plus faim.
Une vraie évasion dans un pays lointain.

Pour la recette, j'ai juste augmenté un peu la quantité de viande, de pulpe de tomate (que je n'ai pas mixée au final), et ajouté une cuiller à soupe de concentré de tomates.

Je confirme ce que Riri Cuisine explique dans son billet, la sauce BBQ donne une saveur très agréable et inattendue à ce plat, et se marie à merveille avec le mélange d'épices.

A refaire très vite, car de l'avis de mes convives, (et du mien) : c'est un délice.
         

Agneau à la sauce BBQ et aux épices
             

            
Pour 4 personnes

Ingrédients

500-550 gr d'agneau (viande à tajine - épaule...)
250 gr de pulpe de tomates
1 cuil à soupe de concentré de tomates
2 oignons
l'équivalent d'1 cuil à soupe bombée de gingembre frais
3 gousses d'ail
3 cuil à soupe de sauce BBQ
Huile végétale (pour moi de l'huile de colza, car neutre en goût)
2 cuil à soupe de coriandre fraîche ciselée
1 cuil à café de graines de coriandre
1 cuil à café de graines de curry
1/2 cuil à café de graines de fenouil
1/2 cuil à café de graines de cumin
1/4 de cuil à café de piment d'Espelette
Sel
Poivre
          

Eplucher et hacher finement le gingembre frais et les gousses d'ail.

Eplucher et émincer les oignons.

Couper la viande d'agneau en gros cubes (ici environ 2-3 cm).

Dans un mortier, piler les graines de coriandre, de cumin et de fenouil,
et ajouter le reste des épices.

Dans un wok ou une cocotte, faire chauffer un peu d'huile végétale,
et y faire revenir les morceaux d'agneau pour qu'ils soient bien colorés.
Réserver.

Remettre un filet d'huile et y faire revenir l'ail et le gingembre hachés.

Dès coloration, ajouter les oignons émincés, bien mélanger et mettre sur feu moyen.

Ajouter l'équivalent de 3 cuil à soupe d'eau,
couvrir et laisser cuire à feu doux pour "caraméliser" les oignons (compter environ 5 min).

Ajouter ensuite les morceaux d'agneau, les épices, mélanger,
et ajouter la pulpe de tomates et le concentré de tomates.
Saler, poivrer, et ajouter de l'eau afin de recouvrir la viande.

Couvrir et laisser cuire 45 min.

Ajouter enfin la sauce BBQ et la coriandre fraîche ciselée, et éventuellement un peu d'eau si besoin.
Laisser cuire encore environ 30 min.
La viande doit devenir fondante, et la sauce doit épaissir.

Servir avec du riz basmati (ou du riz japonais).
            

   


parchemin
 : 

drapeau_anglaisEnglish version of recipe :  
          

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9 juin 2012

Tartelettes amandine Melon - Fraise

Suite à l'Atelier melon, j'ai eu des envies de melon... C'est bien naturel aussi, puisque nous sommes en pleine saison.

Lors de l'atelier, j'avais eu l'idée d'associer du melon avec de l'amande, mais cela ne faisait pas partie des ingrédients à notre disposition. Dommage ! On aurait pu faire un crumble.

Bah ! Ce n'était que partie remise avec mes nouvelles tartelettes maison.

J'ai gardé l'idée d'associer le melon à l'amande avec une pointe d'eau de fleur d'oranger, comme pour les calissons. J'ai aussi ajouté des fraises pour donner de la couleur et un côté un peu acidulé (Cela aurait été mieux avec des framboises... mais je n'en avais pas sous la main).

Et en préparant ma pâte, l'idée m'est venue de mélanger les textures entre le melon et les fraises cuites dans la pâte, et des billes de melon et fraises fraîches pour la décoration.

Un franc succès auprès de mes testeurs tant visuellement que gustativement... Bien que je reste convaincue que des fruits plus acidulés comme les framboises, auraient été meilleurs ;o)
         

Tartelettes amandine

Melon - Fraise
       

         
Pour 6 tartelettes

Ingrédients :

1 beau melon pas trop mûr
1 barquette de fraises

Pâte sucrée à l'amande
      Recette de C. Adams issue du livre "Tartelettes !"

125 gr de beurre mou (à température ambiante)
85 gr de sucre glace
1 gousse de vanille
25 gr de poudre d'amandes
2 gr de sel
1 oeuf à température ambiante
210 gr de farine

Pour la garniture amandine
     
60 gr de poudre d’amandes
1 œuf
1/2 cuil à café d'eau de fleur d'oranger
50 gr de sucre
100 ml de crème liquide entière

Pour la ganache au chocolat blanc

100 gr de chocolat blanc
150 gr de crème liquide entière

 

La veille de préférence, préparer la ganache au chocolat blanc :
  

Faire chauffer la crème liquide et lorsqu'elle bout la verser en 2 fois
sur le chocolat blanc coupé en morceaux ou en pistoles et mélanger.
Laissez tiédir.
Et garder au réfrigérateur pour la nuit.

Pour la pâte sucrée :

Mettre le beurre dans un récipient, et tamiser le sucre glace dessus.
Mélanger le beurre et le sucre pour obtenir un mélange homogène.

Fendre la gousse de vanille et racler les graines pour les extraire et les ajouter au beurre.
Tamiser la poudre d'amande et le sel, et mélanger le tout avec le beurre.

Ajouter l'oeuf et mélanger de nouveau.

Tamiser la farine sur la préparation, et mélanger sans trop travailler la pâte.

Envelopper la pâte dans un film alimentaire
et la mettre au réfrigérateur pour 2 heures minimum.

 

Préparation du melon et des fraises :

Couper le melon en deux et retirer les pépins.

Laver les fraises sans retirer les queues.

Puis à l'aide d'une cuiller parisienne de toute petite taille faire des billes de melon et de fraises.
Dans les fraises, on peut faire entre 2 à 3 billes. Elles ne seront pas totalement rondes, mais ce n'est aps grave.
      

         
Couper en brunoise les chutes de melon et de fraises.

Réserver.

Préparer la garniture amandine :

Fouetter les œufs avec le sucre - inutile de les faire blanchir, ce n'est pas ce que l'on cherche.
Ajouter ensuite la poudre d’amandes, l'eau de fleur d'oranger et la crème,
et mélanger.
        

Préchauffer le four T°5-6 (170°C)

Etaler la pâte sur une épaisseur de 2 mm, et former vos tartelettes dans des cercles.
Les déposer sur une plaque allant au four recouverte d'un papier cuisson.

Dans les tartelettes, éparpiller la brunoise de fraises et melon,
puis recouvrir de garniture amandine.
       

      
Enfourner vos tartelettes pour 25 -30 minutes (selon votre four).
Puis laisser refroidir totalement les tartelettes sur une grille après les avoir démoulées.
         

      
Lorsque les tartelettes sont bien refroidies :

fouetter la ganache, afin d’obtenir une ganache montée (ressemblant à une chantilly).

A l'aide d'une spatule, étaler une épaisseur de ganache sur les tartelettes.
Puis décorer avec les billes de melon et de fraises.

Après plusieurs essais les billes de fraises sont plus jolies si on les met sur le côté pour laisser apparaître les akènes.
     

     
parchemin
 :

drapeau_anglaisEnglish version of recipe : 

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6 juin 2012

Cookies chocolat - oranges confites

Et me revoici avec une recette de cookies pour le goûter des enfants... ou des grands bien évidemment.

Toujours avec la même recette de base de cookies issue du livre "Les Cookies de Laura Todd" (éd. Marabout), voici une version qui découle du fait que j'aime beaucoup les orangettes.

Bien évidemment si vous n'avez pas d'oranges confites, du zeste d'orange peut s'y substituer... ou même on peut faire un mélange d'oranges confites et de zestes d'orange. Tant que c'est gourmand ;)
Mais en ce moment, ce n'est plus trop la saison des belles oranges. Alors je me contente d'oranges confites.
                

Cookies chocolat - oranges confites
        

        
Pour une trentaine de cookies

Ingrédients

300 gr de sucre roux
250 gr de margarine
1 oeuf
375 gr de farine
quelques gouttes d'eau de fleur d'oranger
1 pincée de sel
1/2 sachet de levure chimique
200 gr de pépites de chocolat
100 gr d'écorces d'oranges confites

Préchauffez votre four à température 140°C (T° 4 - 5).

Couper les écorces d'oranges confites en petits morceaux.
Réserver.

 Dans un récipient ou le bol du robot, mélangez bien le sucre et le beurre ramolli.

 Ajoutez l'œuf et l'eau de fleur d'oranger, et mélangez.

Par ailleurs mélanger ensemble, la farine, la levure et le sel, les morceaux d'oranges confites
et ajouter ce mélange sec et les pépites de chocolat en 3 fois à l'autre mélange.

Prélever de la pâte à cookies, 
former une boule et la poser sur une plaque recouverte de papier cuisson.
Aplatir légèrement la boule.

Enfourner pour 15 - 20 minutes d'après le livre.
Mais si vous les souhaitez bien moelleux ne les laisser cuire que 12 minutes à T°5 ou 15 à T°4.

Laisser refroidir sur une grille.

Conserver dans une boîte en fer.
     

 

 parchemin :  Cookies_chocolat_-_oranges_confites

drapeau_anglaisEnglish version of recipe :  Chocolate_-_candied_orange_cookies

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3 juin 2012

Croustillant chèvre et melon au piment d'Espelette

Cette recette a été créée lors de l'atelier Melon, organisé par le Melon de nos régions, par le trio avec lequel j'ai participé à cet atelier : Marina du blog Parmesan et Paprika et Brigitte du blog Douce cuisine dans les nuages.      

Le but de cet atelier était de créer 3 recettes autour du melon... Vous l'auriez deviner vu le nom de l'atelier.

3 thèmes imposés : un plat chaud, un plat avec un ingrédient mystère (pour nous le Nutella) et un plat minute.

Après concertation et choix des ingrédients, parmi les ingrédients qui nous étaient proposés, cette recette est parue assez évidente. Restait à savoir si cette association marcherait...

... et bien oui, ça marche plutôt pas mal même. J'en veux pour preuve le fait que j'en ai refais le week-end suivant, pour la surprise et le plaisir de chacun.

Facile, rapide et bon... que demander de plus.

 

Croustillants chèvre et melon

au piment d'Espelette

      
Pour une douzaine de croustillants en forme triangulaire

Ingrédients :

1 paquets de feuilles de bricks
1 bûchette de chèvre
1/2 melon juste mûre
quelques feuilles de basilic frais
du piment d'Espelette
huile d'olive
huile à friture

Retirer et éplucher la moitié d'un melon.
Puis couper le en tranches de 3-4 mm d'épaisseur à peu près.

Faire chauffer l'huile d'olive dans une poêle,
il faut que la poêle soit bien chaude.
Y faire revenir les morceaux de melon quelques minutes (les morceaux doivent rester fermes)
saupoudrer généreusement (ou à votre goût) de piment d'Espelette.

Réserver dans une assiette.
          

        
Couper la bûchette en tranches pas trop épaisse.

Couper les feuilles de brick en 2,
Plier en deux une moitié,

et déposer une tranche de chèvre, un morceau de feuille de basilic,
un morceau de melon (si besoin saupoudrer de nouveau de piment d'Espelette),
puis plier en triangle afin de former les croustillants.
       

     
Faire chauffer un peu d'huile de friture dans une poêle,

et y faire frire les croustillants.

Déguster dans les minutes qui suivent...
... mais pas trop chaud non plus attention, le melon est brûlant.
    

   

 

En prime, voici quelques photos de l'atelier melon, et des plats réalisés
          

 

    
Ici, en pleine élaboration de recettes.
        

 

 
      

 
       

 
        

et notre fine équipe ;o)

 
          

 

 

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